[vc_row row_height_percent= »0″ override_padding= »yes » h_padding= »2″ top_padding= »5″ bottom_padding= »5″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ column_width_percent= »100″ shift_y= »0″ z_index= »0″][vc_column column_width_percent= »85″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ medium_width= »0″ mobile_width= »0″ shift_x= »0″ shift_y= »0″ shift_y_down= »0″ z_index= »0″][vc_custom_heading]Assurance solde restant dû… Posez-vous les bonnes questions.[vc_custom_heading heading_semantic= »h4″ text_size= »h4″]La conclusion d’un crédit immobilier s’accompagne généralement de la souscription d’une assurance solde restant dû, hélas trop souvent souscrite de manière automatique sans réelle réflexion sur sa pertinence.La conclusion d’un crédit immobilier s’accompagne généralement de la souscription d’une assurance solde restant dû, hélas trop souvent souscrite de manière automatique sans réelle réflexion sur sa pertinence : Est-elle réellement nécessaire ? Quel montant assurer ? Quelle répartition de la couverture entre les emprunteurs ?… Evitez la banalisation de cette assurance, des optimisations sont possibles. Réflexions et conseils sont de rigueur en cette matière là aussi. Quelques points d’attention sont soulevés par l’Echo dans son article du 16 février, avec la participation de Quentin Vandenhaute, associé maxel s.a.
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